Paris, le 4 juillet 2019 – Depuis le 21 juin et jusqu’au 20 octobre 2019, Tinder est partenaire exclusif de la saison culturelle “Futures of Love” organisée par les Magasins généraux, à Pantin. Ancrés dans un futur proche, l’exposition et le festival anticipent les devenirs possibles de la vie amoureuse et sexuelle en lien avec les nouvelles technologies, les avancées scientifiques, l’évolution des pratiques, des moeurs et des idées. Elle se compose d’une exposition rassemblant une quarantaine d’artistes internationaux, ainsi que d’un festival, d’ateliers, d’un colloque, d’un livre et de plusieurs événements.
Il semblait naturel que Tinder accompagne cette réflexion prospective ; en 2012, en créant son Swipe iconique, l’application a non seulement redessiné les contours de la rencontre mais a aussi ouvert un nouveau champ de possibles aux jeunes célibataires du monde entier. Un champ d’exploration positif et libéré, au design simple et intuitif, dans lequel les expériences que nous choisissons deviennent celles qui nous façonnent. Aujourd’hui, la marque donne la parole à trois jeunes artistes en ouvrant une résidence de deux mois et demi sur la thématique Single, Not Sorry. L’exposition aura lieu à l’automne aux Magasins généraux.
Ces trois artistes, qui ont entre 22 et 30 ans, vivent au coeur des nouveaux usages digitaux. Deux d’entre eux sont notamment connus pour les filtres qu’ils créent sur Instagram. C’est parce qu’ils jouent avec les codes de l’époque que Tinder a souhaité leur donner carte blanche : le célibat, chez les Gen Z, est lui aussi soumis à de nouveaux codes, et libéré des vieilles étiquettes. Mieux assumé, voire revendiqué, il est souvent choisi chez les 18-25 ans pour mieux profiter de leur indépendance et explorer les contours de leur identité.
“Proposer à Tinder de s’associer aux Magasins généraux pour explorer les futurs de l’amour et de la rencontre était une évidence. Le faire à travers une programmation dédiée, qui permet à Tinder de s’engager auprès de la jeune création contemporaine et de ses émanations les plus prospectives, nous paraît riche de sens. En plus d’amplifier l’exposition “Futures of Love”, cette collaboration aboutit à l’organisation d’une résidence, qui invite trois artistes émergents à proposer un point de vue artistique sur Tinder et ce nouveau mode de vie qu’est le célibat libre et décomplexé.”
Eugénie Lefebvre - directrice des Magasins généraux
“Les trois artistes participants à cette résidence ont la particularité d’être extrêmement actifs sur les réseaux sociaux et de fédérer d’importantes communautés. Cela fait partie intégrante de leur démarche. Ils sont jeunes, se connaissent, se suivent, et ont même − pour certains d’entre eux − déjà collaboré ensemble. Ils sont à notre sens les représentants d’une nouvelle vague artistique, que l’on pourrait qualifier « d’artistes-influenceurs ». Séduits par l’idée de collaborer avec Tinder, ils sont invités à poser cet été leur regard sur le discours porté par cet acteur incontournable de la rencontre, autour du célibat chez les jeunes en tant qu’art de vivre, facteur d’expérimentation et d’épanouissement de soi.”
Anna Labouze & Keimis Henni - directeurs artistiques des Magasins généraux
“Chaque jour sur Tinder, des millions de jeunes célibataires choisissent de vivre de nouvelles expériences. Il est donc essentiel pour nous de prendre part à la conversation qu’initient les Magasins généraux autour des transformations de la rencontre et du célibat. L’art, parce qu’il est un langage d’émotion fortement lié à l’époque, est un moyen privilégié de comprendre ce qui se joue autour de ces nouveaux usages. Nous sommes très heureux d’inviter ces trois artistes à accompagner cette réflexion.” déclare Lennart Schirmer, Directeur Régional de Tinder en Europe.
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Français, né en 1994, vit et travaille à Paris Crédit photo : Ben Elliot par Winter Vandenbrink |
Ben Elliot propose dans son travail une réflexion nouvelle sur la société de consommation, les réseaux, les collaborations et la transparence exacerbée. En brouillant dans son œuvre protéiforme les frontières entre art, vie intime et marketing, il cherche à explorer les rouages de l’émergence des tendances et de la création de valeur. Depuis sa première exposition personnelle en 2016 avec Artagon, ses projets ont été présentés à Paris par Jeune Création, la Villa Belleville, EXO EXO, les Magasins généraux et plus récemment dans le cadre de son exposition personnelle “Influencers” à la Galerie Hussenot, qui explorait les liens entre art contemporain, image digitale, entrepreneuriat et identité de marque à travers la figure des influenceurs sur les réseaux sociaux. Guest Room, centre d'art situé en Caroline du Nord aux États-Unis, lui a également consacré une exposition personnelle autour de la création de sa propre marque d’eau minérale : Ben Elliot Water. En 2019, il présente dans l’exposition “Futures of Love” aux Magasins généraux son installation multimedia The Stalker, qui rassemble les micro-intrusions intempestives et passionnelles d’un de ses fans, tombé amoureux de son image sur Instagram. |
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Suisse, né en 1989, vit et travaille à Paris Crédit photo : © Andy Picci |
Le travail d’Andy Picci s’articule notamment autour de la célébrité, des réseaux sociaux, de leurs acteurs et de leur influence. La quête du moi profond, l’identité, et les tourments d’une génération vivant dans un monde 2.0 sont ses obsessions. Andy Picci a grandi en Suisse. Il est diplômé de l’École cantonale d’art de Lausanne (ECAL), de l’ESAM Design de Paris et du Central Saint Martins College of Art and Design de Londres. En 2015, un de ses projets se fait remarquer : l’artiste berne des paparazzis en se faisant passer pour Pete Doherty, et des photographies de lui sont publiées en couverture du quotidien Le Parisien en lieu et place de celles de la rockstar. Depuis, il a publié un recueil de poésie, a présenté en 2018 à Paris une exposition entièrement consacrée à Nabila Benattia et a dévoilé, début 2019, une série de filtres Instagram pour souligner l’addiction de toute une génération aux smartphones et aux selfies. Les réseaux sociaux sont ainsi pour l’artiste un medium à part entière, où il se met en scène, entre réalité de son quotidien et création de faux contenus, qui le présentent par exemple à la une des magazines ou en tant qu’égérie pour Saint Laurent. |
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Française, née en 1992, vit et travaille à Berlin Crédit photo : © Johanna Jaskowska |
Johanna Jaskowska est la créatrice du filtre Instagram futuriste “Beauty3000”, le plus utilisé et célèbre de l’application. Elle s’intéresse dans son travail à l’évolution des codes de beauté dans un monde de plus en plus digitalisé, ainsi qu’à la fusion des identités et des corps réels et virtuels. Elle explore notamment dans ses projets la conscience et la projection de l’image de soi sur internet et les réseaux sociaux. L’attrait de la jeune artiste pour les nouvelles technologies se traduit par un vocabulaire visuel non conventionnel et aseptisé, emprunt de transhumanisme et des questionnements de la génération Z. Johanna Jaskowska a déjà collaboré avec Ben Elliot dans le cadre de l’exposition “Influencers”, présentée début 2019 à la Galerie Hussenot à Paris. |
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Tinder
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À propos de Tinder
Tinder est l’application sociale leader dans le monde pour rencontrer de nouvelles personnes. Elle est disponible dans 190 pays et plus de 40 langues. Tinder est l’une des cinq meilleurs applications − hors gaming − dans le monde.
À propos des Magasins généraux
Les Magasins généraux sont un centre de création fondé par BETC. Nés dans un bâtiment industriel des années trente au bord du canal de l’Ourcq à Pantin, ils participent à l’énergie et à l’émergence du Grand Paris. Initiateurs de rencontres, ils rassemblent plusieurs acteurs de la création – résidents et invités – qui contribuent à la programmation.
Les Magasins généraux réinventent les contours de la production artistique en collaboration avec des marques et des entreprises qui deviennent à leur tour actrices de projets de programmation, au service de la création et à destination du grand public.
